La détresse et l’enchantement Téléchargez le dossier de présentation
Crédit photo : Yves Renaud « Jeune, j’ai ardemment désiré étudier, apprendre, voyager. Quelquefois encore je rêve à quelqu’un d’infiniment mieux que moi que j’aurais pu être… » - Gabrielle, acte 1, scène 6 Parue en 1984, un an après la mort de son auteure, l’autobiographie de la romancière Gabrielle Roy n’a cessé depuis de toucher des dizaines de milliers de lecteurs. La vie y palpite avec un irrésistible accent de vérité, entre les éblouissements et la noirceur, entre la plénitude des joies et l’angoisse du vide, entre les incertitudes paralysantes et ces révélations qui changent une destinée entière. Pour déployer cette parole d’une exceptionnelle humanité, Marie-Thérèse Fortin et Olivier Kemeid ont réalisé un montage théâtral de ces mémoires. La naissance d’une romancière, voilà ce vers quoi tend tout entier ce récit où l’auteure crée sous nos yeux son propre personnage.Texte de Gabrielle Roy Durée : 1h 35, sans entracte
Regard critique « À cette femme paradoxale, en perpétuelle quête de liberté, Marie-Thérèse Fortin offre toute sa conviction. Sur le bord d’un fleuve imprévisible, sous un ciel changeant, elle donne à son personnage une humanité poignante. (…) Sa performance vaut à elle seule le détour. » « Un monologue essentiel et percutant. » « Marie-Thérèse Fortin offre une grande performance d’actrice, voire un marathon théâtral qui lui vaudra probablement des médailles au passage ! La comédienne réussit son pari de nous faire réentendre et apprécier la parole importante, unique et limpide de l’auteure de Bonheur d’occasion. » La Presse « Un spectacle sobre, comme il se doit, où les mots de l’écrivaine, sa personnalité vive et chaleureuse, sa vision pénétrante de l’existence humaine nous parviennent aisément. » « À cette femme paradoxale, en perpétuelle quête de liberté, Marie-Thérèse Fortin offre toute sa conviction. Sur le bord d’un fleuve imprévisible, sous un ciel changeant, elle donne à son personnage une humanité poignante. (…) Sa performance vaut à elle seule le détour. »
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