Les enfants d'Adam
Huis clos familial déjanté
Texte d'Audur Ava Ólafsdóttir
Théâtre de l’Opsis

Vionnez un extrait vidéo

Téléchargez la revue de presse

 

Poursuivant son cycle de création portant sur des œuvres du territoire scandinave, le Théâtre de l’Opsis a jeté son dévolu sur une pièce de l’auteure islandaise Audur Ava Ólafsdóttir, qui propose un huis clos familial très déjanté et qui, sous la férule de la metteure en scène Luce Pelletier, se déploie de façon très fantaisiste : les pas de danse se mariant à merveille à des réflexions existentielles profondes autant qu’à des situations  et propos pour le moins, absurdes.

Dans Les enfants d’Adam, une structure familiale hors norme fait apparaître le choc des visions générationnelles.  A la suite du décès de son mari, une femme découvre avec stupéfaction le regard que ses enfants portent sur elle. Ces derniers devront rajuster le tir au fil des révélations concernant leur mère, mais aussi concernant le passé inusité de leur père. Bien loin de l’absurde, au-delà du déjanté, ce qui apparaît comme une métamorphose n’est en fait que le vrai visage d’une femme comme toutes les autres : merveilleusement unique.

Texte : Audur Ava Ólafsdóttir
Traduction : Racka Asgeirsdottir et Claire Béchet
Mise en scène : Luce Pelletier
Avec Dorothée Berryman, Caroline Bouchard, Sébastien Dodge, Marie-Eve Pelletier et Étienne Pilon.

Durée : 1 h 20, sans entracte.
Plateau demandé (m) : L 9 x P 8 x H 5
Disponibilités : 2018-2019 (à préciser)

 


Regard critique

«La metteure en scène Luce Pelletier réussit son pari de pénétrer les couches nombreuses d’une écriture originale, intrigante, pleine d’humour, de dérision et de violence sourde».
Revue JEU

«La distribution est impeccable (...) La mère, interprétée par Dorothée Berryman est touchante dans toute sa fantaisie» Pieuvre.ca

« Lumineuse et pleine d’entrain, la pièce, mise en scène par Luce Pelletier, est un bonbon pour notre enfant intérieur et une belle leçon de vie et de lâcher prise». Diffractions.ca

Un parti-pris pour…
La solide interprétation du groupe, mais aussi pour la facture déjantée de la production.